Mission : " Dépucelage "

Patricia est une amie d’école de Paris qui a le même âge que moi, 45 ans. Elle a une fille de 23 ans qui vit chez elle. La pauvre fille n’a pas été gâtée par la nature, genre l’actrice Pauline Carton jeune en plus avec de l’acné sur la figure, elle est très timide et ne reflète pas la joie de vivre.

La tristesse de Patricia c’est que Françoise est encore vierge et risque de le rester car elle ne sort jamais. Elle me demande si je veux casser la rondelle de sa fille, alors j’accepte de me sacrifier.

Sacrifier n’est pas le terme exact, je n’ai jamais dépucelé une fille et j’avoue être intéressé par l’expérience bien sûr si Françoise est consentante.

Comme je suis libre, je loge chez eux pendant la semaine histoire de faire connaissance avec la fille de Patricia.

C’est la semaine suivante après avoir discuté avec sa fille que Patricia m’annonce l’accord de sa fille. J’en parle moi même discrètement avec Françoise qui me dit toute rouge de honte, les yeux baisés :

- Oui je veux bien mais attention « il faudra pas me faire mal ».

Elle est trognon cette gamine, j’espère bien au contraire lui faire que du bien. Demain soir Patricia sort et il est convenu qu’elle ne rentrera pas de la nuit, elle nous laisse le champ libre.

Il est 20h00, Patricia nous a fait parvenir un repas livré par un traiteur on mange et je maintiens une conversation soutenue sur ses études de droit pour qu’elle ne stresse pas en pensant à cette nuit.

22h00 je lui prends la main et l’entraine doucement sa chambre.

Elle me demande de recouvrir la lampe de chevet d’une serviette et c’est dans la pénombre que je la prends dans mes bras pour l’embrasser.

D’abord un baiser chaste du bout des lèvres qui se transforme en roulage de patin avec langue profonde et échange de salive.

Vierge mais experte la petite. Son pull défait, elle résiste quand j’ôte son sous tif.



J’avais vu qu’elle avait une bonne poitrine mais ses seins m’explose dans les mains, ils sont très mous, tombants mais doux comme du duvet, ils glissent presque sous ses bras.

Moi j’aime bien ce genre de seins qu’on peut tripoter comme des boules de guimauve. Je me mets à bander et quand son jeans est par terre c’est moi qui retire mes vêtements pour me retrouver nu à coté d’elle, la verge déjà en érection.

Elle ferme les yeux et lui prenant la main je l’accompagne jusqu’à ma bite. Elle touche et retire sa main immédiatement. Je n’insiste pas et m’attaque à sa culotte petit bateau en coton blanc très rétro et je pense que c’est voulu, si ça se trouve c’est une vrai cochonne sous son air de sainte nitouche ?

Elle résiste et essaie de retirer ma main ce qui me plais encore plus que j’en ai la bite dure comme du bois et qui devient douloureuse.

J’espère ne pas éjaculer trop vite tellement je suis excité. A deux mains, je fais sauter ce dernier rempart protégeant sa vertu et je réattaque avec des baisers langoureux, chose où elle excelle, et dans la pénombre part à la découverte de son corps.

Si elle est vierge, elle n’est pas frigide car sous mes caresses encore chastes je sens sa respiration s’accélérer de plus en plus vite jusqu’à ce qu’elle me couvre la main par la sienne quand j’atteins son entrecuisse.

Est-ce pour m’empêcher ou au contraire m’inciter à poursuivre ? J’opte pour la deuxième solution et force le passage entre ses cuisses pour me retrouver la main sur sa chatte.

Y a de la résistance et je retarde l’attaque du minou que je remplace par un malaxage de ses seins que je ramène sur le devant de la scène et que je suce.

Ça elle aime et gémit doucement. Je sens que c’est bien parti quand soudain elle se referme comme une huitre, s’échappe du lit et se sauve dans la salle de bain passer un peignoir et ne plus en ressortir.

Merde ! Je n’ai pas que ça à foutre de m’occuper d’une pucelle effarouchée ! Mais chose promise, chose due et je retourne au charbon si on peu dire en allant la chercher dans la salle de bain où la petite chiale qu’elle est moche, sur, qu’elle va rester vieille fille, si elle ne veut pas de ma charité.


Je la réconforte et lui fait voir mon sexe au garde à vous pour dire que ma charité ne commande pas mon sexe et que j’ai beaucoup envie de faire l’amour avec elle, je lui dit qu’elle est belle et que son corps est superbe.

Ça a l’air de marcher et elle accepte de revenir dans la chambre où elle se couche avec son peignoir alors que je lui fais remarquer que je suis nu.

Elle pose un regard sur moi et sourit en regardant mon sexe qu’elle caresse d’elle-même en s’excusant de son ingratitude.

Comme pour retarder l’instant critique elle me noie de paroles, racontant ses malheurs avec des petits copains à qui il fallait toujours caresser le sexe si on voulait être emmené en voiture le samedi soir et ensuite se laisser juste tripoter les seins dans la boite de nuit.

Elle me raconte le gars qui lui avait enlevé son soutient gorge dans la voiture et qui soudain lui avait dit qu’elle avait une poitrine vraiment trop moche et l’avait raccompagné chez elle.

J’avoue que pour une femme ce genre de comportement est traumatisant et que c’est un coup à faire une vieille fille de plus.

Il est déjà minuit et on a encore rien fait ! Je reprends les choses en mains et en écartant le peignoir je promène mes lèvres sur sa poitrine en descendant lentement. Je m’attarde un peu sur son nombril et je vois une légère contraction de ses cuisses quand je reprends ma descente aux enfers.

Je caresse les poils de son sexe et écarte doucement ses cuisses qui sans s’ouvrir tout suite se laissent faire. J’ai maintenant la tête ente ses jambes et je suce les lèvres pour les écarter et passer sur son clito que je sens comme un petit point dur.

Elle est réactive et ondule lentement le bassin en gémissant. Je la sens bien mouillée et tenterai bien une pénétration tout de suite de peur qu’elle recommence son cinéma de tout à l’heure.

J’enfile le plus rapidement possible une capote car ça a tendance à me faire débander mais aujourd’hui je suis trop excité.
Je me glisse entre ses jambes qu’elles écartent bien gentiment et d’une main je place ma queue a l’entrée de son vagin.

Elle est suffisamment mouillée pour me passer du lubrifiant que j’avais apporté au cas où.

Etroite la petite, on voit que je suis le premier visiteur. Je pars en exploration et j’entre doucement dans son vagin, savoir que je suis le premier me donne une satisfaction et une responsabilité de réussite qui me paralyse un peu.

Je vois ses yeux grands ouverts attendant le coup de grâce que je donne sans tarder en un bon coup de rein qui me fait pénétrer au fond de sa chatte.

- OH ! Oh !

Seule remarque qu’elle fait en fermant les yeux.

Moi j’ai rien senti de particulièrement résistant à ma pénétration. Si peut être une sensation de resserrement sur mon gland pendant un cours instant mais pas de barrière qu’il faut casser en s’y reprenant à plusieurs fois.

Des bobards tout ça ! Françoise semble soulagée d’avoir perdu son opercule et quand je commence un va et viens elle resserre ses jambes sur mes fesses, ouvre les yeux qui me remercient et attend le plaisir qu’on lui a tant promis.

Faut maintenant assurer ! Pas d’éjaculation précoce, mais juste une pénétration bien appuyée qu’elle ressente que c’est une bonne bite qui va la faire jouir et pas ses doigts habituels.

J’accélère le rythme et je tape un peu plus fort quand j’entends des murmures de « ha ! oui ».

Je jouis en râlant pour qu’elle sente qu’elle me donne aussi du plaisir. Elle me lacère le dos de ses ongles avant de reprendre sa respiration et rester légèrement hébétée.

Je suis de sortir car je voudrais pas que la capote se vide, elle a une grimace et se glisse la main sur le vagin comme pour retenir la chaleur en elle.

Je la laisse aller se laver et constate qu’il n’y a pas de sang sur les draps comme dans les films, seule la capote est un peu rouge.

Elle revient complètement nue, beaucoup plus relax, se glisse à coté de moi, pose sa tête sur ma poitrine et pleure doucement.


Je suis un peu comme un con, je l’enlace et je laisse faire sentant qu’elle n’attend pas de réconfort mais de la tranquillité.

Le reste de la nuit Françoise ne s’est pas comportée comme une pucelle et sa virginité paraissait bien loin.

Pas de douleur pour elle juste une envie d’apprendre comme pour rattr le temps perdu.

Je suis parti de bonne heure le matin, fatigué, très fatigué, même très-très fatigué.

Elle dormait et je n’avais pas envie de rencontrer sa mère, préférant laisser Françoise tout lui raconter.

Patricia m’a téléphoné le lendemain pour me remercier tant elle ne reconnaissait pas sa fille.

On est tombé d’accord pour un rendez vous un soir à mon hôtel : après Françoise la fille c’est le tour de Patricia la mère, heureusement qu’elle est divorcée sinon je devais me payer le mari aussi ! Je blague bien sûr.


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